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C’est l’histoire d’un employeur, d’une nouvelle affectation et d’un refus du salarié…

17 novembre 2025

Embauché par une agence de nettoyage, un salarié se voit affecter vers un nouveau lieu de travail, ce qu’il refuse : pour lui, le lieu de travail est un élément essentiel de son contrat de travail qui ne peut pas être modifié sans son accord…

Or, son contrat mentionne son lieu de travail initial, qui est donc un élément essentiel ne pouvant être modifié sans son accord… Ce que réfute l’employeur : le lieu de travail apparaît dans le contrat puisque cette mention est obligatoire, mais elle n’est qu’indicative et n’a pas vocation à « contractualiser » le lieu de travail. Ainsi, le refus du salarié de changer de lieu de travail est une faute puisque ce changement n’a pas à être impérativement accepté par le salarié…

Ce que valide le juge, qui donne raison à l’employeur : pour que le lieu de travail soit considéré comme un élément essentiel du contrat, il faut qu’une mention le précise, faute de quoi il n’est mentionné qu’à titre indicatif et peut être modifié sans l’accord du salarié.

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C’est l’histoire d’un employeur pour qui l’inégalité de salaire n’a rien d’injuste…

Durée : 01:50
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Vente de la résidence principale : une question de délai ?

13 novembre 2025

Alors qu'il a acheté sa résidence principale l'année dernière, un propriétaire jette son dévolu sur une nouvelle maison qu'il destine à sa nouvelle résidence principale. Pour réaliser ce nouvel investissement, il doit vendre sa précédente résidence principale acquise quelques mois auparavant.

Mais parce qu'il n'aura justement occupé cette maison comme résidence principale que quelques mois, pourra-t-il bénéficier de l'exonération sur la plus-value qu'il va certainement réaliser ?

La bonne réponse est... Oui

L'exonération d'impôt à raison de la plus-value réalisée à l'occasion de la vente de la résidence principale est acquise dès lors que le logement vendu est effectivement la résidence principale du vendeur, à savoir le lieu où il réside effectivement et habituellement la majeure partie du temps. Peu importe, à cet égard, le délai de détention du logement qui n'est pas une condition pour le bénéfice de cette exonération fiscale.

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C’est l’histoire d’un employeur pour qui l’inégalité de salaire n’a rien d’injuste…

14 novembre 2025

Après avoir constaté que 5 de ses collègues, récemment arrivés du fait d’une opération de fusion, sont mieux payés que lui alors qu’ils occupent le même poste, un salarié réclame à son employeur un complément de salaire…

En invoquant le principe selon lequel « à travail égal, salaire égal », le salarié estime que cette différence de rémunérations constitue une inégalité de traitement injustifiée puisque tous ses collègues, mieux payés, occupent le même poste que lui… « Faux ! » réfute l’employeur qui rappelle qu’il est obligé, du fait de la fusion, de maintenir le niveau de rémunérations des salariés dont le contrat de travail a été transféré. Ainsi, la différence de rémunérations qui existe avec les salariés déjà présents est bel et bien justifiée…

Ce que confirme le juge, qui donne raison à l’employeur : la disparité de rémunérations qui résulte du transfert des contrats de travail d’une entreprise et de l’obligation du nouvel employeur de les maintenir est bel et bien justifiée.

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C’est l’histoire d’un entrepreneur qui se méfie des évidences…

12 novembre 2025

Un entrepreneur loue une voiture pour son activité professionnelle. Ayant reçu une amende pour usage du téléphone au volant, le loueur désigne aux autorités le locataire comme conducteur de la voiture, et donc responsable. Ce que conteste le locataire…

Il rappelle, en effet, que l’infraction a été constatée à distance via un radar automatique. Par conséquent, puisque l’identité du conducteur n’a pas été contrôlée, rien ne prouve qu’il était au volant à ce moment précis ! « Si ! », répond le loueur : le contrat de location stipule que le locataire est le seul à pouvoir conduire la voiture, sauf accord exprès du loueur, ce qui n’était pas le cas ici. « Insuffisant ! », maintient le locataire qui estime que le contrat n’est pas une preuve…

« Si ! », tranche le juge : parce qu’il est le seul à être autorisé à conduire le véhicule, qu’il l’utilise pour son activité professionnelle et qu’il n’apporte aucun élément pour prouver ses dires, l’entrepreneur est bien responsable de l’infraction !

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C’est l’histoire d’associés qui voulaient « dissocier » pour mieux déduire…

11 novembre 2025

Une SCI achète un immeuble et y fait réaliser d’importants travaux que ses associés déduisent de leurs revenus fonciers. Ce que conteste l’administration fiscale qui y voit des travaux de reconstruction, non déductibles…

Mais pris isolément, certains sont des travaux de réparation, déductibles eux, estiment les associés. Si une opération comporte à la fois des travaux de réparation et de reconstruction « dissociables », leur déductibilité s’apprécie « isolément », et non « globalement », rappellent les associés. Sauf que ces travaux ne sont pas « dissociables » ici, conteste l’administration : 8 appartements et un niveau d’habitation sont créés, le garage est transformé en logement et le gros œuvre a été affecté notablement…

Ce que constate le juge qui valide le redressement : les travaux en cause se caractérisent par une modification importante du gros œuvre et une augmentation significative de la surface habitable… Ils ne sont pas « dissociables » et ne sont donc pas « déductibles ».

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Transport
Actu Juridique

Permis de conduire : une durée de validité limitée ?

07 novembre 2025 - 2 minutes

Réformer le permis de conduire pour améliorer la sécurité routière : tel est l’objectif de l’Union européenne (UE) qui a voté le 21 octobre 2025 un nouveau cadre qui devra être intégré et adapté par les États membres d’ici 3 ans. Quels sont les principaux changements à venir ?

Rédigé par l'équipe WebLex.

Réforme du permis de conduire pour plus de sécurité routière !

20 000 : c’est le nombre de personnes qui décèdent chaque année sur les routes de l’Union européenne (UE).

Pour poursuivre l’objectif d’une baisse de la mortalité sur les routes, une réforme européenne a été votée, à charge pour les États membres de l’intégrer dans leur réglementation d’ici 3 ans.

Parmi les nouveautés, il faut noter que les sanctions vont être renforcées. Ainsi, une décision de retrait, de suspension ou de restriction de permis sera désormais transmise au pays de l’UE ayant délivré le permis.

Le permis ne sera plus délivré à vie mais aura une durée de validité de 15 ans maximum pour les conducteurs de motos et / ou de voitures.

Notez que cette durée pourra être raccourcie pour les conducteurs de plus de 65 ans. De même, les permis de conduire pour les camions et les autobus auront une durée de validité de 5 ans.

Une visite médicale, comprenant notamment des examens ophtalmologiques et cardiovasculaires, devra être effectuée avant la délivrance et pour le renouvellement du permis.

Les conducteurs de plus de 65 ans pourront avoir à passer des visites médicales ou à suivre des cours de remise à niveau plus régulièrement.

Notez que les pays auront la possibilité de préciser les modalités concrètes de cette nouvelle réglementation. Cela est notamment valable pour les visites médicales, qui pourront être remplacées par des formulaires d’auto-évaluation.

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C’est l’histoire d’un employeur pour qui la démission peut aussi être implicite…

10 novembre 2025

Un salarié initialement embauché par la filiale française d’une société américaine finit par accepter un poste de directeur d’une autre filiale du même groupe, cette fois basée aux États-Unis. Une mutation qui vaut démission de son poste actuel pour la filiale française…

Sauf qu’il n’a pas démissionné, conteste le salarié… Sauf qu’il a accepté un nouveau contrat de travail, démissionnant de facto de son précédent poste, estime l’employeur, d’autant qu’il a accepté sans réserve son certificat de travail et son solde de tout compte et soldé ses congés avant de partir… Sauf que la démission ne peut résulter que d’une volonté claire et non équivoque de rompre le contrat, rappelle le salarié. Et ce n’est pas le cas ici, maintient le salarié pour qui son contrat français est simplement gelé…

Ce que confirme le juge : n’ayant pas manifesté de volonté claire et non équivoque de rompre son contrat de travail, l’acceptation de l’affectation à l’étranger ne suffit pas à caractériser une démission.

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Payer les salaires

Tout savoir sur la paie semi-externalisée : méthode, outils et prestataires

Date de mise à jour : 07/11/2025 Date de vérification le : 07/11/2025 3 minutes

La question de la paie représente un élément essentiel des ressources humaines. C’est une tâche chronophage et complexe nécessitant de jongler entre les déclarations mensuelles, les mises à jour sociales et les obligations légales. De ce fait, le risque d’erreur demeure omniprésent. Donc, de nombreuses structures décident de s’orienter vers la paie semi-externalisée. Une solution hybride combinant expertise et autonomie.

Rédigé par Publi-rédactionnel
Tout savoir sur la paie semi-externalisée : méthode, outils et prestataires

Définition de la paie semi-externalisée

La paie semi-externalisée consiste à transférer une partie du processus à un prestataire externe, sans pour autant déléguer toutes les missions en interne. De façon concrète, l’entreprise maîtrise totalement la collecte des variables comme les primes, les congés et les heures alors que le prestataire se charge de l’application technique et du respect des obligations légales.

C’est un mode de fonctionnement souple assurant une conservation totale des données sensibles, tout en profitant de l’expertise d’un professionnel dans le domaine. Voilà pourquoi, c’est un modèle très apprécié des PME qui ont pour objectif de réduire leurs charges administratives sans perdre en contrôle.

Les avantages de la paie semi-externalisée

Cette méthode garantit une incroyable souplesse de gestion, car l’entreprise ayant recours à ce genre de procédé conserve la supervision de ses salariés et elle profite d’un accompagnement adapté. C’est aussi une solution indispensable pour limiter les erreurs grâce à la veille constante d’un expert, qui sera également chargé de suivre l’évolution des réglementations sociales.

Les tâches techniques comme les déclarations sociales et la génération des bulletins de paie ne concernent plus l’entreprise, ce qui constitue un gain de temps significatif. Le prestataire se charge directement de l’ensemble de cette partie, sans faire le moindre écart au niveau de la sécurité. La paie semi-externalisée améliore la sécurité des données grâce à l’utilisation de logiciels bénéficiant d’une conformité au RGPD.

Comprendre le principe de fonctionnement de la paie semi-externalisée

Le processus se déroule en différentes étapes bien distinctes. Dans un premier temps, l’entreprise valide l’ensemble des éléments variables à travers un espace sécurisé ou en utilisant une interface logicielle. Le prestataire prend le relais en s’occupant de l’édition des bulletins de paie, de la génération des déclarations sociales et du calcul des cotisations.

Une fois que l’ensemble des documents est validé, ils sont transmis pour le paiement et l’archivage. C’est un véritable partage des responsabilités assurant une meilleure répartition des tâches et un suivi rigoureux. En cas de contrôle ou de changement, l’entreprise conserve une grande réactivité et une souplesse remarquable.

L’utilisation de logiciels performants

Les solutions de paie semi-externalisée reposent sur des outils collaboratifs permettant une communication fluide entre le prestataire et l’entreprise. Généralement, ces outils sont intégrés dans la solution de gestion des ressources humaines à travers le cloud. À n'importe quel instant, toutes les  données sont accessibles avec une transparence totale. Certains prestataires vont également plus loin en déployant des interfaces personnalisées en fonction du secteur d’activité et de la taille de l’entreprise. L’objectif reste toujours le même, l’amélioration des échanges, la réduction des erreurs et des tâches répétitives.

Une solution équilibrée pour les entreprises

La paie semi-externalisée assure une meilleure gestion administrative alliant flexibilité, expertise et technologie. C’est un formidable levier pour les ressources humaines, à condition de s’entourer d’un prestataire fiable qui sait proposer le niveau d’accompagnement adapté à votre entreprise. C’est le cas avec des entreprises telles que TPLPaye, prestataire paie qui propose justement des services d’externalisation partielle avec des solutions d’accompagnement sur-mesure. Avec les bons outils, la paie devient un processus conforme, sécurisé et fluide.

 

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Publi-rédactionnel

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Taxes immobilières

Domiciliation professionnelle à Paris : un levier fiscal sous-estimé

Date de mise à jour : 07/11/2025 Date de vérification le : 07/11/2025 4 minutes

La cotisation foncière des entreprises (CFE) est une taxe locale due par toute entreprise ou activité professionnelle non salariée en France. Elle constitue, avec la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE), l'un des deux volets de la contribution économique territoriale (CET). Sa valeur varie fortement d'une commune à l'autre, pouvant lourdement peser sur la trésorerie d'une entreprise, en particulier pour les micro-entrepreneurs, freelances ou TPE. Et, contre toute attente, Paris figure parmi les villes au sein desquelles la CFE est la plus faible.
 

Rédigé par Publi-rédactionnel
Domiciliation professionnelle à Paris : un levier fiscal sous-estimé

Ce que vous devez savoir sur le calcul de la CFE

La CFE est encadrée par l'article 1447 du Code général des impôts. Elle est calculée à partir de la valeur locative cadastrale des locaux utilisés pour l'activité professionnelle, multipliée par un taux fixé par la commune. Si vous n'utilisez pas de local, un montant minimum s'applique, défini localement lui aussi. En d'autres termes, la CFE dépend autant de la localisation géographique que de la valeur estimée des locaux professionnels.

En 2025, les écarts sont frappants :

  •     Paris : 17,86 %
  •   Montpellier : 38,72 %
  •   Bordeaux : 37,18 %
  •   Grenoble : 36,50 %
  •   Lyon : 32,90 %

Ces différences s'expliquent par la décentralisation fiscale, les politiques économiques locales et la valeur foncière des zones urbaines. Pour les petites structures, cela peut représenter plusieurs centaines d'euros, donc une part significative des charges fixes annuelles.

Paris : une fiscalité plus souple que vous ne le pensez

Contrairement aux idées reçues, Paris n'est pas toujours synonyme de coûts élevés. En matière de CFE, la capitale se distingue même par l'un des taux les plus bas de France. Certains arrondissements affichent des bases minimales inférieures à celles de nombreuses communes de banlieue ou de province.

Cela est dû au fait que la capitale française applique une politique fiscale modérée pour attirer les entreprises, notamment les indépendants et les structures légères. Elle représente ainsi une option fiscalement avantageuse pour réduire ses charges fixes. À titre d'exemple, un indépendant réalisant 50 000 euros de chiffre d'affaires annuel pourra économiser plusieurs centaines d'euros en domiciliant son entreprise à Paris plutôt qu'à Montpellier ou Bordeaux.

Domicilier son entreprise à Paris : un levier fiscal et stratégique

La domiciliation d'entreprise, régie par les articles L123-11-2 et R123-167 du Code de commerce, permet à un entrepreneur de déclarer une adresse professionnelle sans avoir à louer un local commercial. C'est une solution idéale pour :

    bénéficier d'un taux de CFE plus bas ;
    travailler à distance ou depuis chez soi ;
    renforcer l'image professionnelle de son entreprise.

La CFE est calculée en fonction de l'adresse de domiciliation, et non du lieu réel d'activité. En choisissant un arrondissement parisien avec une base minimale réduite, vous optimisez votre fiscalité locale. De nombreux entrepreneurs optent pour une domiciliation d'entreprise à Paris via des prestataires spécialisés comme Sofradom, un acteur de référence qui propose plus de 60 adresses dans la région parisienne. Ce choix concurrentiel garantit la valorisation de l'image de l'entreprise, mais également de réduire efficacement la CFE.

Comment domicilier son entreprise à Paris : les étapes clés

Voici les démarches à suivre pour domicilier votre entreprise à Paris :

  • choisir une société de domiciliation agréée, comme Sofradom : au préalable, vous veillerez à vous assurer qu'elle dispose d'un agrément préfectoral ;
  • signer un contrat de domiciliation : celui-ci a une valeur minimale de 3 mois, renouvelable par tacite reconduction, sauf préavis de résiliation ;
  • actualiser votre immatriculation auprès de l'INPI ou du guichet unique en joignant les pièces justificatives nécessaires ;
  • effectuer la déclaration initiale de CFE au centre des impôts via le formulaire 1447-C-SD.

Les sociétés de domiciliation proposent habituellement un accompagnement complet pour : l'inscription en ligne, la gestion du courrier et le support juridique. Leur réseau dense vous permettra de choisir une adresse adaptée à votre secteur et à votre budget.

Autres leviers pour alléger la CFE

La domiciliation n'est pas le seul outil à votre disposition. Voici d'autres pistes à explorer :

  •     l'exonération temporaire pour les nouvelles entreprises (jusqu'à 2 ans dans certaines communes) ;
        les allègements fiscaux pour les jeunes entreprises innovantes (JEI) ;
  •   les exonérations partielles dans les zones prioritaires (ZRR, BER, ZFU, etc.) ;
  •   l'optimisation du statut juridique : les micro-entrepreneurs et les SASU/EURL n'ont pas les mêmes obligations             fiscales.

Pour plus d'informations, renseignez-vous auprès de votre expert-comptable ou via impots.gouv.fr pour connaître vos droits.

Respecter le cadre légal : une priorité

La domiciliation de votre entreprise doit être réelle et conforme. De plus, elle doit figurer dans le registre officiel des entreprises et être déclarée à la Préfecture de Police de Paris. Vos obligations sont les suivantes :

  •     déclarer tout changement d'adresse dans un délai de 30 jours ;
  •  renouveler votre contrat de domiciliation régulièrement ;
  •   conserver les justificatifs en cas de contrôle fiscal.

En cas de non-conformité, vous risquez :

  •     des amendes ;
  •   une requalification de la CFE ;
  •   voire une radiation du registre du commerce.

Réduire sa CFE est une option à la disposition de tous, à condition de bien comprendre les règles et de faire les bons choix. Domicilier son entreprise à Paris vous ouvre la possibilité d'alléger vos charges, de renforcer votre crédibilité et de rester conforme à la législation. Veuillez évaluer méticuleusement votre situation actuelle et si vous cherchez une solution simple et efficace, explorez les services de domiciliation professionnelle à Paris.
 

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Publi-rédactionnel

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