C’est l’histoire d’une grande surface qui tente de faire de la publicité comparative… humoristique…
Désireuse de s’implanter à Paris, une grande surface crée un service de livraison de courses à domicile et lance une campagne publicitaire destinée à promouvoir cette nouvelle prestation. Mais la publicité affichée dans le cadre de la campagne suscite l’indignation de ses concurrents…
Et pour cause : la publicité, qui compare les prix des produits livrés à domicile de la grande surface avec ceux pratiqués par ses concurrents, représente ceux-ci sous les traits de « pigeons », plus ou moins gros selon la différence de prix établie, qui « plument » leurs clients. « Une insulte ! », s’insurgent les concurrents qui réclament une indemnisation… « Un simple trait d’humour », rétorque l’enseigne, qui refuse toute indemnisation…
« Un dénigrement », tranche le juge : parce que cette campagne publicitaire signifie expressément que les clients des concurrents se font « plumer comme des pigeons » en raison des prix pratiqués, celle-ci constitue bien un acte de dénigrement commercial… indemnisable !

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27 jui.
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24 jui.
C’est l’histoire d’un gérant… qui ne l’est pas vraiment…
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22 jui.
C’est l’histoire d’une grande surface qui tente de faire de la publicité comparative… humoristique…
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21 jui.
C’est l’histoire d’un propriétaire qui vend sa résidence principale… qu’il n’occupe pas…
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20 jui.
C’est l’histoire d’un employeur face à une salariée pour qui tout n’est pas cadré…