C’est l’histoire d’un employeur qui voit une représentante du personnel tenter de forcer la porte de son bureau...
A la demande expresse de son directeur, une salariée est convoquée dans son bureau pour un entretien informel, à la suite d’un différend sur la gestion des temps de pause. Une représentante du personnel demande à être présente, mais se voit refuser l’accès au bureau.
Devant l’état d’énervement du directeur, et craignant que la salariée soit en danger, la représentante du personnel a tenté de forcer la porte du bureau du directeur et il s'en est suivi une bousculade. Une attitude qui confine à l’insubordination, d’autant que la salariée n’a pas demandé à être assistée pour cet entretien, estime l’employeur qui prononce une mise à pied disciplinaire. Ce que conteste la représentante du personnel qui, s’estimant au contraire victime de discrimination syndicale, rappelle qu’elle ne peut pas être sanctionnée dans le cadre de l’exercice de son mandat.
Sauf en cas d’abus, rappelle le juge, abus caractérisé ici par l’attitude de la représentante du personnel qui a perturbé l’entretien...

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