Vous venez d’investir dans un appartement que vous allez mettre en location. Parce que le montant total de vos revenus fonciers le permet, vous êtes soumis au régime du « micro-foncier », qui s’avère effectivement d’une souplesse appréciable. Mais est-ce vraiment la meilleure solution ?
Vous êtes soumis de plein droit au régime « micro-foncier »
Quel est le niveau de vos revenus fonciers ? Pour la majorité des propriétaires de biens immobiliers locatifs, le montant des revenus fonciers n’excède pas 15 000 € par an. Si c’est votre cas, vous relevez, de plein droit, du régime micro-foncier pour l’imposition de vos revenus locatifs (pour autant qu’il ne s’agisse pas de location de locaux meublés).
Régime « micro » : comment ça marche ? ...
Une option pour le régime réel à étudier…
Régime « micro-foncier » : avantageux ? Avec ce mode de calcul de votre impôt, vous ne pouvez pas tenir compte des dépenses, frais, taxes normalement admises en déduction des revenus fonciers. Ce régime pourra donc être privilégié si le bien immobilier que vous mettez en location ne nécessite pas de dépenses de travaux d’entretien réguliers et est entièrement financé (vous n’avez peu ou plus d’emprunt à rembourser).
Pas nécessairement…
Contenu gratuit
Pour lire l’intégralité de l’article, il vous suffit de vous connecter ou de créer un compte gratuitement.
Déjà inscrit ? Connectez-vous