Depuis 2004, les salariés doivent une journée de travail supplémentaire non rémunérée, au titre de la solidarité et du financement des actions en faveur de l’autonomie des personnes âgées ou handicapées. Ce que l’on appelle désormais la « journée de solidarité » n’est pas sans poser de difficultés d’organisation dans l’entreprise, d’autant que cette journée ne correspond plus obligatoirement au lundi de Pentecôte. Alors, comment s’organise la mise en place de cette journée de solidarité ?
Mettre en place la journée de solidarité
Le principe. Tous les salariés, quelle que soit leur situation particulière, qu’ils soient embauchés à temps plein ou à temps partiel, sont concernés par la journée de solidarité. A quel moment dans l’année est fixée cette journée de travail, par principe non rémunérée, qui ne correspond plus obligatoirement au lundi de Pentecôte ?
Concrètement...
Rémunérer la journée de solidarité ?
Le principe : une journée de travail non rémunérée. Le travail accompli pendant la journée de solidarité n’est pas rémunéré pour le salarié. Elle ne donne pas non plus lieu à une contrepartie obligatoire en repos et ne s’impute pas sur le contingent annuel d’heures supplémentaires. Il faut toutefois préciser que cette absence de rémunération s’applique dans certaines limites…
En pratique...
Contenu gratuit
Pour lire l’intégralité de l’article, il vous suffit de vous connecter ou de créer un compte gratuitement.
Déjà inscrit ? Connectez-vous