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C’est l’histoire d’un acheteur à qui on rappelle qu’on « ne fait pas du neuf avec du vieux »…

12 mai 2021

Après avoir acheté un véhicule d’occasion auprès d’un professionnel, un particulier s’aperçoit d’une usure importante au niveau du train arrière. Estimant ne pas avoir été informé par le vendeur de ce défaut et de sa gravité, il demande l’annulation de la vente…

« Une usure normale !», selon le vendeur, qui rappelle qu’il s’agit d’un véhicule d’occasion mis en service depuis 16 ans et affichant plus de 200 000 kilomètres au compteur. Il ajoute également que le contrôle technique, réalisé 1 semaine avant la vente et fourni à l’acheteur, signale une légère usure du train arrière. Une usure aggravée en raison de l’utilisation intensive du véhicule par l’acheteur depuis son achat…

Ce que le juge confirme : l’usure constatée au niveau du train arrière du véhicule est bien une conséquence de sa vétusté. Puisqu’il en a eu connaissance, via le contrôle technique, l’acheteur ne peut pas prétendre qu’il n’était pas au courant de son état… et ne peut donc pas obtenir l’annulation de la vente !


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